Recommandations sur la sécurité parasismique
Contexte
Histoire des brasseurs d’air plafonniers
Les enjeux de sobriété et d’efficacité énergétique dans les territoires ultra-marins
Solution pour les concepteurs
Qu’est-ce que le confort thermique d’un bâtiment ?
Comment le brasseur d’air plafonnier apporte-t-il du confort ?
Implantation et positionnement dans l’espace
Prescriptions pour les maîtres d’ouvrage et les maîtres d’Å“uvre
Règles de l’art pour les installateurs
Sécurité, risques sanitaires
Clés pour les utilisateurs
Traitements climatiques des espaces
Notions de coûts, aides publiques et primes EDF
Questions fréquentes
Qu’est-ce que le guide brise ?
Quelques idées reçues qui ont la vie dure !
- 3e point supplémentaire ou câble de sécurité pour les zones sismiques de niveau 5 (Guadeloupe et Martinique) ;
- Fixation du supportage adaptée (chevilles béton sur plafond béton, platine spécifique sur faux- plafond). Chevilles de type placo interdites ;
- Fixation permettant de soutenir a minima 10 fois le poids de l’équipement et supportant les vibrations ;
- Pour brasseurs d’un diamètre inférieur à 152 cm : pâles métalliques proscrites ;
- Système de suspension du groupe moteur/pâles par crochets proscrits : rotule obligatoire ;
- Systèmes de fixation adaptés au support. Chevilles en aucun cas inférieures à un diamètre de 6 mm ;
- Respect des préconisations spécifiques du constructeur ;
- La zone d’installation du ventilateur doit être exempte de tout obstacle : luminaires, composants de la structure du bâtiment, mobilier.
Supportage préconisé, à fixer au plafond
Sous réserve du respect des prescriptions détaillées ci-dessus, les brasseurs d’air n’impactent pas la sécurité des occupants.
Texte réglementaire générique
« 4.3.5 éléments non structuraux. Ces éléments non structuraux (éléments accessoires) des bâtiments (par exemple : garde-corps, antennes, éléments mécaniques secondaires et équipements, murs rideaux, cloisons, clôtures) sont ceux qui peuvent, en cas de rupture, exposer les personnes à des risques ou affecter la structure principale du bâtiment ou l’exploitation des installations présentant des risques particuliers, et doivent être vérifiés–ainsi que leurs supports–en vue de résister à l’action sismique de calcul.»